Image

«Salade grecque»: Tom n’est pas tout seul

Source : Le Devoir

En 2002, le jeune Aliocha Schneider n’avait que neuf ans lorsque ses grands frères l’ont emmené voir L’aubergeespagnole au cinéma. Séduit par les vingtenaires évoluant dans l’univers Cédric Klapisch, celui qu’on a découvert en 2008 dans Maman est chez le coiffeur, de Léa Pool, a suivi l’évolution du Français Xavier (Romain Duris) et de l’Anglaise Wendy (Kelly Reilly) dans Les poupées russes (2005), puis Casse-tête chinois (2013), qu’il a vus à plusieurs reprises.

« C’est un univers que j’adorais, qui me donnait envie de voyager, d’avoir l’âge des personnages pour partir de chez moi, d’avoir des colocs. Aujourd’hui, je dirais de cet univers-là qu’il a quelque chose d’irréel », raconte l’acteur et auteur-compositeur-interprète joint à en visioconférence.

C’est après avoir tourné un court métrage publicitaire sans paroles sous la direction de Klapisch, la campagne How Far Would You Go For Love pour la maison Cartier, qu’Aliocha Schneider constate qu’il s’était retrouvé « au bon endroit, au bon moment ».

« On tournait à pendant trois jours, c’était un tournage vraiment simple et cool. Il n’y avait pas de texte, on improvisait. À ce moment-là, Cédric commençait à réfléchir à une série qui serait la suite de L’auberge espagnole. Je ne peux pas parler à sa place, mais peut-être que je lui ai rappelé un jeune Romain Duris en me voyant en casting. Ensuite, je n’ai pas eu de nouvelles pendant un an et demi et j’ai un peu abandonné l’idée. Puis il m’a dit qu’il voulait me revoir pour voir si

[...] continuer la lecture sur Le Devoir.

Palmarès des livres au Québec