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«La fille dans les serres de l’aigle», Karin Smirnoff

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Sept romans, trois auteurs, un seul titre : la saga Millénium se poursuit. Maintenant que Stieg Larsson, le créateur de cet univers si particulier, est presque oublié et que celui qui a brillamment étiré la sauce, David Lagercrantz, est passé à autre chose, voilà qu’une romancière suédoise, Karin Smirnoff, tente de redonner vie à et à Mikael Blomkvist. Avec un succès très mitigé. Cette fois-ci, elle invente une nièce à Lisbeth, Svala, une sorte d’improbable mutante aux dons étonnants. Blomkvist, lui, joue un rôle très effacé dans ce récit qui ne décolle jamais vraiment. Car même si Karin Smirnoff raconte son histoire en la situant au coeur des préoccupations les plus actuelles — écologie, économie verte, etc. — et qu’elle met en scène des « méchants » vraiment méchants, le courant ne passe plus tout à fait. Faut-il croire que le filon Millénium est finalement épuisé ?

La fille dans les serres de l’aigle

★★ 1/2

Karin Smirnoff, traduit  par Hege Roel-Rousson, Actes Sud « Actes noirs », , 2023, 430 pages

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