Image

Une heure avec Robert Lepage, artiste qui se souvient

 

Tout lire sur: Radio-Canada Livres

Source du texte: Lecture

Robert Lepage vient tout juste de rentrer de Berlin, où il a présenté à la Schaubühne son solo 887 et la pièce Les sept branches de la rivière Ōta. Marie-Louise Arsenault profite de son retour au pays pour s’entretenir avec lui pendant plus d’une heure sur le métier qui l’anime depuis tant d’années.

L’animatrice passe également en survol son enfance à Québec, ses « tours de ville » sur la banquette arrière de son père, son entrée au conservatoire, son amour pour Pina Bausch, son désir précoce d’exporter ses œuvres en dehors du Québec, sa vision politique du théâtre, son besoin de dialoguer avec les autres, ses succès et ses faux pas, etc.

« Le théâtre, c’est le sport de la mémoire. […] Nous, les artistes, on incarne le patrimoine littéraire, poétique. […] Notre métier, c’est de nous rappeler des choses, de nos textes. On porte en nous [l’histoire]. »

— Une citation de 
Robert Lepage

Actualités :

  • La pièce La face cachée de la lune sera présentée de nouveau au Diamant, à Québec, du 15 au 30 avril. C’est le comédien Yves Jacques qui porte ce solo.
  • Dès le 19 août, le Théâtre du Nouveau Monde présentera Les sept branches de la rivière Ōta, une création de Robert Lepage (1994).

Laissez un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *