Image

Voici les 5 finalistes du Prix du récit Radio-Canada 2022

 

Tout lire sur: Radio-Canada Livres

Source du texte: Lecture

Arts | Arts | Livres” data-chrome-extension-exception=”chromeExtensionDocumentSimpleContent” xmlns:xlink=”http://www.w3.org/1999/xlink”>

Virginie Larivière, Daphnée Roy, Simon Brousseau, Jean-François Leclaire et Hélène Robitaille sont finalistes au du récit Radio-Canada 2022.

Photo : Hubert Larose-Dutil, Laurence Côté-Fournier et Louis-Philippe Lampron

Radio-CanadaPublié à 14 h 08

Les récits inédits de Simon Brousseau, de Virginie Larivière, de Jean-François Leclaire, d’Hélène Robitaille et de Daphnée Roy ont été sélectionnés parmi plus de 900 textes soumis au cette année. Le nom de la personne gagnante sera dévoilé le 29 septembre.

La liste des finalistes de langue anglaise (CBC Non Fiction Prize) a été dévoilée jeudi sur le site de CBC Books (Nouvelle fenêtre).

Voici les finalistes :

Simon Brousseau pour La signature du père

Simon Brousseau sourit à l'objectif.

Simon Brousseau est en lice pour le Prix du récit 2022.

Photo : Laurence Côté-Fournier

Originaire de , Simon Brousseau vit maintenant à , où il enseigne la littérature au Collège Jean-de-Brébeuf. Déjà, au secondaire, il savait qu’il voulait devenir écrivain, mais était convaincu qu’il n’était pas nécessaire d’y mettre d’efforts.

« J’écrivais des poèmes bourrés de fautes, les pieds mal comptés, et je rêvais d’être comme Rimbaud. Je me suis longtemps complu dans cette façon commode d’envisager l’écriture, comme une chose qui émane de notre esprit sans qu’on ait à travailler. »

— Une citation de  Simon Brousseau

C’est à la fin de sa vingtaine qu’il a commencé à écrire de manière plus sérieuse. En 2015, il s’est retrouvé parmi les cinq finalistes du Prix du récit pour Le singe joyeux dans la tapisserie. En 2016, il a publié son premier recueil de nouvelles, Synapses, et en 2018, son deuxième, Les fins heureuses.

Son récit La signature du père a été écrit dans les semaines suivant la mort de son père. Chaque jour, en écrivant, je regardais en face la réalité brutale de la mort, la promesse qui nous est faite en naissant que nous allons un jour mourir.

Virginie Larivière pour Engourdie

Virginie Larivière sourit à l'objectif.

Virginie Larivière est en lice pour le Prix du récit 2022.

Photo : Gracieuseté

Virginie Larivière a grandi en Montérégie et habite maintenant Québec. Le violent décès de sa sœur l’a poussée à mener une grande campagne contre la violence à la télévision. Après s’être consacrée au théâtre lorsqu’elle était jeune adulte, elle a fait une maîtrise en sciences de l’environnement.

Porte-parole du Collectif pour un Québec sans pauvreté depuis 2013, elle participe pour la deuxième fois aux Prix de la création. Virginie Larivière écrit des lettres ouvertes, des argumentaires et des textes explicatifs pour son travail.

« Les textes plus personnels vont m’habiter longtemps avant que je n’arrive à les écrire. Je m’endors en construisant des phrases dans ma tête! »

— Une citation de  Virginie Larivière

Jean-François Leclaire pour Des paons dansent

Jean-François Leclaire sourit à l'objectif.

Jean-François est en lice pour le Prix du récit 2022.

Photo : Gracieuseté

Né à Laval, Jean-François Leclaire a déménagé tôt à Montréal. Il a fait des études en lettres et communications, français écrit et études littéraires et travaille, depuis 2006, comme aide-bibliothécaire dans une bibliothèque publique de Côte-des-Neiges.

Celui qui n’a jamais participé à un concours d’écriture se qualifie de désorganisé et de facilement distrait. J’ai besoin d’un objectif clair, défini, et d’une grande liberté à travers un cadre bien établi pour pouvoir créer… sans oublier une date limite!

Il aime particulièrement écrire des slams, de l’humour et des textes pour lesquels il s’impose des contraintes. Par exemple, introduire dans un texte le nom de tous les États des , utiliser des anagrammes, passer les stations d’une ligne de métro au complet, ou encore utiliser la même première lettre pour tous les mots du texte!

Hélène Robitaille pour Petite nazie

Elle sourit à l'objectif.

Hélène Robitaille est en lice pour le Prix du récit 2022.

Photo : Louis-Philippe Lampron

Hélène Robitaille habite Lévis, où elle enseigne la littérature au Cégep de Lévis depuis 20 ans. Elle a fait paraître deux recueils de nouvelles, Les cigales en hiver et Villes où je n’irai jamais. Elle a également écrit quelques pièces de théâtre, dont Santiago, qui a été jouée à Québec et à Montréal.

Celle qui se qualifie de lectrice lente et pas du tout boulimique a participé à de nombreuses reprises aux divers Prix de la création, mais c’est la première fois qu’un de ses textes est retenu. Son plus grand défi cette fois-ci? Ne pas avoir recours à la fiction.

« J’y vois l’occasion de prendre un vrai risque, en ce qui me concerne en tous cas : ne pas recourir à la fiction, ne pas (trop) trafiquer la vérité d’un souvenir, me mettre à nue d’une nouvelle manière et croire qu’une anecdote de ma propre vie (laquelle me semble souvent très banale, ce dont je ne me plains pas) puisse toucher un lecteur qui ne me connaît pas – ce fut ça, mon défi, en écrivant Petite nazie. »

— Une citation de  Hélène Robitaille

Daphnée Roy pour Pity party

Daphnée Roy sourit à l'objectif.

Daphnée Roy est en lice pour le Prix du récit 2022.

Photo : Hubert Larose-Dutil

Native de Rivière-du-Loup, Daphnée Roy vit maintenant à Montréal. Elle termine une maîtrise en sciences de l’information, en plus de détenir un baccalauréat et une maîtrise en littérature. Celle qui aimerait travailler dans une bibliothèque voit dans cette nomination une occasion de renouer avec l’écriture.

« L’écriture, pour moi, a toujours été une façon d’exorciser mes démons, et je n’avais encore jusque-là jamais eu le courage de mettre des mots sur ce que je vivais depuis que j’avais abandonné toutes mes ambitions littéraires. Ce texte a été extrêmement éprouvant à écrire, mais il m’a permis de faire la paix avec certaines choses et d’aller de l’avant. »

— Une citation de  Daphnée Roy

Fortement marquée dans sa par et la chambre des secrets – au point de se lever deux heures plus tôt avant de partir à l’école pour lire –, Daphnée Roy participe pour la première fois aux Prix de la création.

    Véritable tremplin pour les écrivaines et les écrivains canadiens, les Prix de la création Radio-Canada (Nouvelle fenêtre) sont ouverts à toute personne qui écrit, de façon amateur ou professionnelle. Ils récompensent chaque année les meilleurs récits (histoires vécues), nouvelles et poèmes inédits soumis au concours.

    Vous écrivez des nouvelles? Envoyez-nous vos textes inédits d’ici le 31 octobre 2022!

    Prix de la nouvelle inscrivez-vous maintenant

    Info National | International | Immigration, Amériques | Roxham inc. : le commerce payant de l’immigration”>

    Il y a 2 heuresImmigration

    Info National | International | Politique internationale, , Europe | Poutine dénonce les efforts visant à créer un « monde unipolaire »”>

    Il y a 2 heuresPolitique internationale

    Sports | Sports | Tennis | Roger Federer annonce sa retraite”>

    Il y a 1 heureTennis

    Colombie-Britannique–Yukon | Société | Immigration, Économie | Colombie-Britannique–Yukon | 30 000 $ pour un visa de travailleur étranger temporaire”>

    Il y a 7 heuresImmigration

    Info National | Politique | Politique provinciale, Élections Québec | Débats des chefs : à qui la chance du débutant?”>

    Hugo LavalléeHugo Lavallée Il y a 7 heuresPolitique provinciale

    Laissez un commentaire

    Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *