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Escarpolette: un premier roman jeunesse pour Sylvie Drapeau

Source : Le Devoir

La comédienne revisite les thèmes qui lui sont chers et les enveloppe d’une immense dose de tendresse et d’espoir.

Ceux à qui l’univers littéraire tragique et douloureux de Sylvie Drapeau est familier s’étonneront peut-être de la trouver au rayon destiné aux enfants. Son premier roman , Escarpolette, est certes, comme ses oeuvres précédentes, traversé d’ombres, mais trouve — dans la beauté des petites choses, la surprise d’un éclat de rire et la découverte d’une passion — la puissance de résister au chagrin.

Rose passe ses soirées à l’hôpital, emmurée dans le silence, depuis qu’un grave accident de vélo a plongé sa mère dans le coma, rendant la suite incertaine. Dans l’espoir de l’extraire de son mutisme, sa grand-mère lui offre un journal, dans lequel elle pourra consigner et lire à voix haute ce qu’elle veut dire à sa maman.

Au début, Rose se dévoile timidement. Mais lorsqu’elle assiste, avec son , à la pièce Le petit chaperon rouge, elle est éblouie. Le spectacle est grandiose, à un tel point que sa mère semble lui tenir la main et assister avec elle à ce grand coup de foudre. Elle ressent l’urgence de tout lui raconter. Maintenant déterminée à devenir actrice, la fillette convainc son enseignante d’accompagner ses élèves dans la préparation d’un grand  ; une aventure où les leçons, les émotions et les défis se succéderont, lui apprenant doucement à laisser aller ce qu’elle ne peut changer.

Dans ce premier tome de ce qu’on annonce comme

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