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Boucar Diouf honore toutes les mères dans Ce que la vie doit à la mort

 

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« C’est comme si l’étoile au centre sapin s’était éteinte et que les Noëls devenaient moins lumineux. » C’est ainsi que Boucar Diouf perçoit l’absence de sa mère, décédée plut tôt cette année. Le biologiste, océanographe, animateur, chroniqueur, auteur et humoriste lui consacre un ouvrage où il est question de deuil, de souvenirs heureux et de réflexions sur la vie qui continue.

« Les mères sont un pilier […], c’est l’aiguille qui rapièce les tissus sociaux, les liens familiaux, qui veut que tout le monde soit bien. »

— Une citation de 
Boucar Diouf

À lire : Ce que la vie doit à la mort, quand la matriarche de famille tire sa révérence, Boucar Diouf, Éditions La Presse, 15 septembre 2022

Résumé de la maison d’édition : « Comme chez les éléphants, la matriarche humaine est le pilier central de la famille », écrit Boucar, qui a perdu sa mère l’an dernier. « C’est pour me relever de sa disparition que j’ai écrit ce modeste bouquin. » Un livre aussi touchant qu’instructif et tendre.

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