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«Cheptel», Amélie Hébert

Source : Le Devoir

Cinq ans après son recueil de Les grandes surfaces (Le Lézard amoureux), où elle parlait de son rapport à la ville en suivant les traces de Geneviève Desrosiers et de Marie Uguay, Amélie Hébert se tourne vers la nouvelle afin de se pencher sur les rapports entre humains et animaux. « Moi, bien sûr, j’aime les animaux, mais est-ce que ça veut réellement dire quelque chose ? Est-ce suffisant pour que les animaux soient heureux avec moi ? Probablement pas. » Évoquant tour à tour , , Jack London et , les huit nouvelles de Cheptel transportent le lecteur dans des récits de fiction, d’autofiction et de docufiction où l’animal n’échappe pas toujours à la violence, volontaire ou non, de l’être humain — du plus cruel au plus bienveillant. Qu’elle se déroule en forêt, à la campagne, à la ville, au cirque, en laboratoire ou à l’abattoir, chaque nouvelle éveille les consciences sans pour autant verser dans le militantisme revanchard ou la morale primaire.

Cheptel

★★★

Amélie Hébert, Triptyque, , 2023, 194 pages

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