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Cinq polars à ne pas rater

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Le cadavre du canyon, Thomas King

Depuis qu’il a coincé le tueur en série qui a mis fin à sa carrière officielle de policier en assassinant sa femme et sa fille (voir Les meurtres d’obsidienne, chez le même éditeur), Thumps Dreadfulwater pense pouvoir enfin se reposer. La pandémie n’est plus qu’un mauvais souvenir, la vie se remet à vivre et il entend s’occuper sérieusement de son diabète, consacrer plus de temps à sa difficile relation avec Claire, se remettre à la photo, retrouver son chat… quand il trouve un cadavre au fond d’un canyon. Et là, bien sûr, tout part en eau de boudin. Thumps redevient du coup assistant du shérif de la petite ville de Chinook et il devra résoudre une histoire compliquée au cours de laquelle il verra resurgir un personnage de son passé. L’affaire est passionnante, comme à l’habitude, touffue, mais ce sont d’abord les personnages et les paysages sublimes qui entourent Dreadfulwater, de même que le style et l’humour inimitable de Thomas King qui rendent cette sixième enquête absolument irrésistible.

Alire, février

À qui sait attendre, Michael Connelly

Après avoir donné un coup de main à son demi-frère Mickey Haller, l’avocat à la Lincoln (Sans l’ombre d’un doute, chez le même éditeur) Harry Bosch se retrouve aux côtés de Renée Ballard au département des affaires non résolues (cold cases) du LAPD. Ballard, qui fait toujours face à l’opposition féroce de certains de ses anciens collègues, vient de retrouver la trace ADN d’un violeur en série qui a terrorisé la ville 20 ans

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