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Denise Desautels honore la poésie québécoise en France

 

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« J’écris comme on fait des fouilles, en archéologue de l’intime. » Denise Desautels vient lire au micro un passage de ses derniers recueils de , L’angle noir de la joie et D’où surgit parfois un bras d’horizon. L’écrivaine et poète réagit également à son entrée dans la prestigieuse collection Poésie de Gallimard, devenant ainsi la première femme à y être publiée et la deuxième personne du Québec à y être représentée, après Gaston Miron.

« Je connais bien notre poésie, je la sais riche. »

— Une citation de 
Denise Desautels

Denise Desautels est née à le 4 avril 1945 quelque part dans le Plateau-Mont-Royal, un quartier populaire, « celui de Michel Tremblay », précise-t-elle. L’écrivaine raconte à Marie-Louise son enfance dans la Grande Noirceur, où la mort rôdait constamment autour d’elle. « Je n’ai pas vécu dans un pays en guerre, mais autour de moi, il y avait un champ de bataille », dit-elle.

La poète a publié plus d’une vingtaine de recueils de poésie, une quinzaine de livres d’artistes, un récit, des textes dramatiques radiophoniques ainsi qu’un abécédaire.

À lire : L’angle noir de la joie suivi de D’où surgit parfois un bras d’horizon, Denise Desautels, Gallimard, mars 2022 en (13 avril au Québec)

Résumé de la maison d’édition : Unanimement considérée comme une des grandes voix de la poésie nord-américaine, la Québécoise Denise Desautels, née à Montréal en 1945, confie dans D’où surgit parfois un bras d’horizon : « J’écris légèrement au-dessus de la douleur. » S’expriment constamment dans ces poèmes le combat pour la joie et un amour désespéré de la vie, dans une écriture incisive et resserrée. Ici « se cherche un jardin », au cœur sensible de l’éphémère et du fragile.

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