Tout lire sur: Radio-Canada Livres
Source du texte: Lecture

Le poète et romancier Jean-Christophe Réhel, bien connu pour son œuvre Ce qu’on respire sur Tatooine, parle de ses débuts , à 17 ans, où son père a déboursé 10 000$ pour son premier recueil de poésie. Il le trouve très mauvais. « C’était copié sur ma vie de jeune gars qui ne sait pas quoi faire de sa peau, qui va aux adultes pour finir son secondaire… [mais] il meurt à la fin. Il explique que l’amour des mots n’est pas arrivé durant son enfance, mais plus tard dans sa vie. »
L’étincelle pour son intérêt à l’écriture est venue par des professeurs au secondaire, qui ont cru en lui. Lorsqu’il était enfant, ses parents n’avaient pas un intérêt particulier pour la littérature, et les premières histoires qu’il appréciait sont venues des bandes dessinées et des films.
« Ma mère aimait les revues de cuisine, revues à potins. […] On ne m’a jamais lu d’histoires avant de me coucher, et je n’en souffre pas aujourd’hui. »