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Joël Bégin fait parler les ouï-dire dans Plessis, « un faux roman historique »

 

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Mais pourquoi donc Maurice , ancien premier ministre du Québec, est-il mort à Schefferville? Cette question, se l’est posée sous l’angle complotiste. Le professeur de philosophie s’est amusé à inventer des théories autour de cette mort suspecte dans Plessis, un premier roman qui vient tout juste de remporter le .

« Je me suis mis à fabuler sur de possibles théories du complot autour de la mort de Duplessis; c’est cette étincelle qui a mené au roman. […] J’aime jouer avec la trame historique, avec des faits, des événements, des personnes, et à partir de là, je me permets une complète liberté. »

— Une citation de 
Joël Bégin

À lire : Plessis, Joël Bégin, VLB, 4 mai 2022

Résumé de la maison d’édition : Schefferville, 1959. Dans le guest house de l’Iron Ore Company of , le vieux Chef se meurt. Attaque cérébrale soudaine. Du moins, c’est ce qu’on prétend. Parce qu’il apparaît vite qu’il se trame quelque chose de louche, à Schefferville. C’est à Paul-Émile Gingras, jeune policier trifluvien pas spécialement doué, que son grand-oncle Jos-D., ministre de la Colonisation et bras droit de Maurice Duplessis, assigne la tâche de démêler tout ça. Alors pas le choix, avec son ami Gégé Godin – oui, ce Godin-là –, Gingras prend la route de la Côte-Nord.

L’auteur Joël Bégin, gagnant du prix Robert-Cliche pour son roman Plessis

Julie Marois

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