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«La chambre du fils»: une affaire délicate

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Certaines situations sont, disons, plus délicates que d’autres. Comme ici dans La chambre du fils, quand on découvre plus de 10 millions de dollars en petites coupures dans le chalet d’un ancien ministre de la Santé qui vient de décéder subitement.

La découverte amène du moins le procureur général de Norvège à confier une mission prioritaire à l’inspecteur Wisting : découvrir d’où vient cet argent et mettre au jour le lien entre le disparu et le trésor caché.

Le temps de récupérer discrètement les billets, de les placer en lieu sûr et de trouver leur provenance… le chalet isolé au bord d’un lac est complètement détruit par un incendie criminel. Rapidement, Wisting met sur pied une équipe spéciale, dont fait partie sa fille Line, journaliste d’enquête — que l’on a déjà vue à l’oeuvre dans Le code de Katharina.

Synchronicité  

L’improbable petit groupe élimine d’abord de la liste des suspects le parti politique puis le syndicat où militait l’ex-ministre ; ses responsables ont eux-mêmes alerté le procureur après avoir trouvé l’argent le jour même du décès.

On réussit toutefois à identifier la provenance du magot — un braquage jamais résolu —, mais rien qui puisse impliquer le ministre décédé d’un arrêt cardiaque.

En creusant autour de ce que l’on a pu reconstituer du cambriolage, un élément nouveau apparaît : une disparition toujours inexpliquée survenue le même jour dans la région. La synchronicité de ces deux affaires non résolues survenues au même moment, dans un même périmètre, met la puce à l’oreille de

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