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Secte lugubre, rites obscurs, meurtres sordides : tous les éléments d’un bon roman à suspense sont présents dans le dernier livre de Charlie Donlea. Comme on peut l’imaginer, Isabelle Richer et Norbert Spehner ont adoré la lecture de La maison des suicides, un polar qui captive ses lecteurs et lectrices jusqu’à la dernière page et qui rappelle énormément Le maître des illusions, de Donna Tartt.
« C’est l’une des raisons pour lesquelles j’aime ce genre-là. Il y a tous les ingrédients [pour réussir] un polar complet : il y a le mystère, l’enquête, la révélation, la surprise, les personnages intrigants, un cadre presque gothique, une ambiance de rites, [bref] un menu complet. »
À lire : La maison des suicides, Charlie Donlea, une traduction de Johanne Tremblay, Édition Saint-Jean, 30 mars 2022
Résumé de l’éditeur : Dans la forêt ceinturant le campus de l’école secondaire Westmont, en Indiana, se trouve une maison abandonnée bien connue des étudiants pour les rites d’initiation qui s’y déroulent…
Au cours d’un été, deux étudiants sont victimes d’un horrible massacre à cet endroit. Depuis, d’autres jeunes ayant survécu à cette nuit macabre retournent à la maison et n’en reviennent jamais. Bien qu’un enseignant ait été reconnu coupable des meurtres, l’affaire, qui a inspiré un célèbre balado de true crime, demeure irrésolue.