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«La semeuse de vents»: jeune pionnière

Source : Le Devoir

Depuis l’enfance, Mélodie Joseph, qui lançait mercredi le premier tome de la tétralogie La semeuse de vents, lit beaucoup de fantasy et de science-fiction. Citant Le château des nuages, de Diana Wynne Jones, comme le premier livre à lui avoir fait aimer la fantasy, la primo-romancière s’est notamment plu à lire À la croisée des mondes, de Philip Pullman, la série , de J.K. Rowling, et Le trône de fer, de George R.R. Martin, à la suite d’une suggestion d’une amie.

« Je crois que ces livres ont vraiment influencé ma vision de la narratologie, de la construction des récits, confie la Montréalaise née en Martinique et ayant grandi à Saint-Martin, dans les Antilles françaises. Récemment, j’ai lu Les livres de la terre fracturée, de N.K. Jemisin, j’ai aussi lu Naomi Novik, qui a écrit plusieurs livres, mais mon autrice de fantasy préférée, c’est Robin Hobb avec sa série Le royaume des anciens, qui inclut L’assassin royal. »

Étonnamment, lorsqu’elle décide d’envoyer son roman à plusieurs maisons d’édition, au Québec et en , Mélodie Joseph n’aborde pas la notion de genre littéraire : « Dans la lettre de présentation où je décrivais mon histoire, je ne parlais pas du tout d’afrofantasy ni d’afrofuturisme. Je disais seulement qu’il s’agissait d’un personnage qui est dans une quête personnelle, de mémoire, d’identité. J’axais aussi sur le fait que plus tard dans la série, il y aurait une quête de vengeance. »

Origine inconnue

Ce personnage, c’est Olive, orpheline chétive et amnésique de 10 ans, que Neige,

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