« La traduction nous offre des mondes », écrit Lori Saint-Martin dans son nouvel essai, Un bien nécessaire – Éloge de la traduction littéraire, qui vient de paraître chez Boréal. Après 30 ans à exercer ce métier de constants dilemmes, celle qui est aussi romancière et professeure au département d’études littéraires de l’UQAM a voulu faire l’apologie d’un art qui est encore trop souvent occulté ou carrément méconnu, à son avis. Entretien.
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La traduction, une fenêtre sur le monde
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