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«Le cercle de pierres», M.W. Craven

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Dans la région montagneuse des Lacs, au nord-ouest de l’Angleterre, un tueur en série immole des vieillards de plus de 70 ans en les faisant brûler vifs, au milieu des cromlechs qui tapissent la région. Sans motif apparent puisque rien ne semble relier les victimes. C’est donc d’abord à établir un lien que s’affaire Washington Poe dans sa cinquième enquête, alors qu’on le sort de sa retraite forcée devant le manque de résultat des policiers. Assisté d’une petite nouvelle qui cuisine les algorithmes comme personne, il remontera lentement mais sûrement la piste en trouvant un élément déterminant à la base de toute cette série de crimes repoussants. Il s’agit d’une sinistre croisière sur un lac, une quinzaine d’années plus tôt, à la suite de laquelle trois jeunes garçons ont disparu. Tous les vieillards sacrifiés y avaient participé… ce qui explique les motifs de celui que l’on a surnommé l’Immolateur. Car malgré les apparences, il y a pire que d’être brûlé vif. Une enquête bien menée, bien écrite, avec une finale étonnante.
 

Le cercle de pierres

★★★

M. W. Craven, traduit de l’anglais par Sebastian Danchin, L’Archipel, , 2022, 392 pages

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