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De l’avis de l’écrivaine, on n’a pas à dire aux gens qu’on leur a pardonné. Il faut le faire pour soi.
« C’est une paix avec soi-même, pour libérer de la place dans son cœur. »
Pardonner éloigne l’amertume et favorise la créativité. Mais y arriver n’est pas facile.
« C’est comme si […] on disait : passe-moi le couteau, je vais continuer [à me faire du mal]. C’est ça, ne pas pardonner. Je ne dis pas que c’est facile, mais il ne faut pas le prendre, le couteau. »
La populaire autrice nous dit pourquoi elle désigne également la peur et la vanité comme des ennemis à abattre.
