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Le roman Que notre joie demeure, de l’auteur québécois Kevin Lambert, est finaliste pour le prix Médicis du roman francophone 2023.
Le roman avait également fait partie d’une première sélection de 16 titres pour le prestigieux prix Goncourt. Que notre joie demeure avait toutefois été éliminé du processus lorsque la liste du Goncourt avait été réduite à huit livres, le 3 octobre.
Que notre joie demeure, un roman engagé, très fouillé sur le sujet de l’architecture, discute des dérives de la classe dominante et de l’embourgeoisement à Montréal.
Au début du mois de septembre, le lauréat du prix Goncourt 2018, Nicolas Mathieu, avait vivement critiqué le recours à la lecture sensible par Kevin Lambert. En entrevue avec Patrick Masbourian sur ICI Première, Kevin Lambert avait défini cette démarche : C’est un éditeur ou une éditrice qu’on appelle à intervenir pour une réponse à question spécifique de laquelle on n’est pas spécialiste. On utilise ce mot-là depuis peu de temps, mais les écrivains ont toujours fait ça.”,”text”:”C’est un éditeur ou une éditrice qu’on appelle à intervenir pour une réponse à question spécifique de laquelle on n’est pas spécialiste. On utilise ce mot-là depuis peu de temps, mais les écrivains ont toujours fait ça.”}}”>C’est un éditeur ou une éditrice qu’on appelle à intervenir pour une réponse à question spécifique de laquelle on n’est pas spécialiste. On utilise ce mot-là depuis peu de temps, mais les écrivains ont toujours fait ça.
Le jeune écrivain est un habitué du prix Médicis. Ses romans Tu aimeras ce que tu as tué et Querelle de Roberval s’étaient retrouvés respectivement finaliste et en première sélection du prix.
Le prix Médicis sera décerné le 9 novembre.
Avec les informations de La Presse canadienne