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Le vieux monde derrière nous : Olivier Kemeid, sur les traces de son père

 

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En 1968, Gil Kemeid, jeune voyageur québéco-égyptien, partait en scooter sur les routes de l’Europe en direction d’Istanbul. C’est ce périple, cette odyssée, véritable socle dans son récit familial, qu’Olivier Kemeid raconte dans Le vieux monde derrière nous. Les nombreuses cartes postales que son père a envoyé à sa mère constituent le fil d’Ariane que l’écrivain et metteur en scène suit pour renouer avec sa famille, son passé et ses origines.

Olivier Kemeid a dirigé l’Espace libre durant quatre ans (de 2006 à 2010). Depuis 2016, l’écrivain et metteur en scène est codirecteur général et directeur artistique du Théâtre de Quat’Sous. Figure incontournable du théâtre québécois, il est connu notamment pour ses pièces L’Énéide (2007), Moi, dans les ruines rouges du siècle (2012), Five Kings (2015) et pour son roman Tangvald (2017).

À lire : Le vieux monde derrière nous, Olivier Kemeid, Leméac, 16 mars 2022

Résumé de la maison d’édition : Alors que s’amorcent les premiers soubresauts de Mai 68 à Paris, Gil Kemeid y débarque en provenance de Montréal. Récent boursier destiné à des études d’architecture, mais surtout récent amoureux d’une jeune femme qu’il quitte inopinément, ce Québéco-Égyptien est porté par son rêve de parcourir l’Europe en une odyssée symbolique qui lui permettrait de renouer avec ses origines levantines.

Les trois pièces de théâtre à lire en ce moment, selon Olivier Kemeid : 

  • Femme non rééducable, de Stefano Massini, L’Arche, 2010
  • Les suppliantes, d’Elfriede Jelinek, L’Arche, 2016
  • Les dix commandements de Dorothy Dix, de Stéphanie Jasmin, Somme Toute, 2022

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