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«Les bombes», 21 jours pour changer

Source : Le Devoir

Lasses d’être convoquées aux mêmes castings atypiques où elles se retrouvaient inévitablement en compétition, Debbie Lynch-White, Olivia Palacci, Julie de Lafrenière et Sarah Desjeunes Rico ont eu l’idée, il y a 11 ans, d’une série où elles tiendraient ensemble les rôles principaux, Les gorgeous, titre provisoire qui allait devenir Les bombes. Le 12 juillet 2019, les voilà dans le bureau de Sophie Deschênes, des productions Sovimage, à pitcher leurs personnages aux prises avec une dépendance.

« J’ai eu un coup de coeur instantané, raconte la productrice lors d’un point de presse suivant la présentation des deux premiers des six épisodes d’une heure des Bombes. Je trouvais ça audacieux et lumineux. Je trouvais que l’idée était le fun de traiter ce sujet en comédie dramatique, parce que la dépendance, ça peut être lourd. »

Ne restait plus qu’à trouver une autrice rompue à la comédie dramatique, Kim Lévesque-Lizotte, et un réalisateur au regard sensible, Pascal L’Heureux. « Ce que je trouvais vraiment beau et qui donnait un sens à tout ça, c’était de voir quatre grosses filles qui prennent en main leur destin et leur carrière, poursuit l’autrice de manière frontale. Ma mission, c’était d’insuffler à ces personnages-là, qu’elles ont bâtis et auxquels elles ont attribué une dépendance, de la profondeur afin que ces actrices-là puissent jouer autre chose que ce qu’on leur offre habituellement, soit la meilleure amie ou le comic relief. »

« Je fais surtout de la comédie pure depuis un bon bout, c’était la première fois que je réalisais des épisodes d’une heure, rappelle

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