Les désirs comme toile de fond aux Correspondances d’Eastman cette année

Les Correspondances d’Eastman se tournent vers la thématique des désirs pour l’événement qui aura lieu du 4 au 7 septembre.

C’est sûr que la première pensée que les gens ont, c’est celle d’un désir un peu plus charnel, mais c’est aussi un désir de créer, de connaître ses origines, explique la directrice artistique des Correspondances d’Eastman, Julie Collin, qui dirige sa première édition.

Les désirs d’infini et de protection de la nature seront également des sujets de discussions au festival.

L’objectif de l’événement littéraire, ancré dans la région depuis 23 ans, est d’échanger et de profiter des lettres dans toutes ses formes.

Les Correspondances, c’est un événement où on peut vraiment prendre le temps.

Un tout premier cercle de lecture

Dans ce vent de nouveauté qu’amène la nouvelle directrice artistique, il y aura un tout premier cercle de lecture qui sera offert aux festivaliers lors du premier jour de l’événement.

Je n’en revenais pas que ce n’était pas arriver en 23 ans, s’exclame-t-elle, en riant.

Il portera sur le roman Nuit désordre d’Isabelle Décarie et de Stéphanie Filion. Ces deux autrices participeront également à d’autres activités de la programmation.

Mme Collin souhaitait également rendre le festival le plus accessible possible.

Il y a plusieurs activités gratuites cette année. […] Les Correspondances ne sont pas que pour les gens très littéraires. Tout le monde peut y trouver son compte.

En plus des cafés et des spectacles littéraires, le festival présentera cinq grandes entrevues.

Ça va être des occasions [les grandes entrevues] de discuter, longuement de façon très intime, avec des auteurs, autrices, a décrit la directrice artistique.

L’écrivaine, Hélène Dorion, et l’animatrice et écrivaine, Rebecca Makonnen, seront notamment interviewées.

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