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Leonberg, 1618. Tout va mal dans ce village allemand : peste, mauvaises récoltes et instabilité politique. C’est bien tentant de mettre la faute sur Katharina, une veuve illettrée qui fourre son nez partout et offre ses remèdes à qui en a besoin. Serait-elle une sorcière ? La femme, loin d’être blanche comme neige, pourra compter sur son fils Johannes Kepler, célèbre mathématicien et astronome, pour assurer sa défense. Encore une fois, on reconnaît la traduction impeccable de Lori Saint-Martin, récemment disparue, et Paul Gagné. Leur travail transpose avec brio cette satire sociale inspirée de faits historiques réels. Bravo !
(Traduction de Lori Saint-Martin et Paul Gagné, Boréal, 344 p.)