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Lettre d’adoration : tout ce que doit Mélissa Lavergne à Mamady Keïta



 

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« À travers les stages qu’il multiplie aux quatre coins du globe, il provoque les rencontres, les amitiés, les discussions et les réflexions afin que se comprennent les gens partout. » ne tarit pas d’éloges pour le célèbre djembéfola guinéen Mamady Keïta. Dans un monologue épris d’émotion, la percussionniste et grande mélomane rend hommage à celui qu’elle considère comme « son maître, son ami, son  ».

Extrait de son monologue :

Fort de ses tournées partout dans le avec les Ballets, Mamady développe effectivement des aptitudes à rassembler les gens de partout autour du djembé, dans un désir unificateur et humaniste profond. Il veut rassembler, tout en éduquant. Et pour lui, il apparaît fondamental de ne pas enseigner un instrument, mais plutôt une culture.

Il est également question dans cette entrevue du premier roman de Mélissa Lavergne, L’iroko, publié à -Amérique. Elle y tient une réflexion sur la diversité et aborde l’épineuse question de l’appropriation culturelle.

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