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«Liaison»: l’espion français qui m’aimait

Source : Le Devoir

Six ans après Netflix, Apple TV+ lance sa première série originale française… mais n’ayez crainte, Liaison n’a rien à voir avec , médiocre série policière avec et . Reposant sur un solide scénario Virginie Brac (Cheyenne et Lola) et la mise en scène énergique de Stephen Hopkins (The Fugitive), la série d’espionnage de six épisodes du producteur Jean-Benoît Gillig (Insoupçonnable) se veut une histoire d’amour impossible, une métaphore du Brexit et un thriller politique sur fond de cyberattaques nous transportant en Angleterre, en et en . Mieux encore, Eva Green et Vincent Cassel y incarnent les amants maudits.

Sans hésiter, l’acteur, également producteur exécutif de Liaison, affirme que c’est l’histoire d’amour qui l’a d’abord attiré vers cette coproduction avec la où son personnage s’exprime en français, en anglais, en russe et en arabe. « Tout le reste n’a de sens qu’au moment où ça s’accroche à quelque chose auquel on peut s’identifier, explique-t-il en entrevue virtuelle. Tout d’un coup, cette espèce d’amour inavoué, plein de remords, impossible à consommer, devient vraiment une histoire. Le reste, on l’a déjà vu et la politique, on s’en fout. Je veux dire, c’est primordial, mais on ne peut pas tenir les gens devant un écran sur un problème politique. , personnellement, je m’emmerde. En revanche, de voir la tension entre deux personnages parce qu’il y a trop de non-dits, ça m’intéresse. »

Fasciné par Eva Green, l’acteur était ravi de pouvoir enfin tourner à ses côtés. « Quand j’ai appris que c’était

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