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L’improbable duo de «La boîte à magie»

Source : Le Devoir

Après dix tomes la série policière Fjällbacka (La princesse des glaces, Actes Sud, 2008), où l’on suit les enquêtes de la romancière Erica Falck et de l’inspecteur Patrik Hedström, quelques romans féministes (Femmes sans merci, 2020), livres (Super-Charlie, 2012) et livres de cuisine (À table avec , 2012), la prolifique suédoise Camilla Läckberg s’est fait un complice en la personne du mentaliste de renommée internationale (The Art of Reading Minds, St. Martin’s Essentials, 2019).

Écrit à quatre mains, La boîte à magie, premier d’une trilogie — ce qui explique les questions sans réponse —, met en scène la détective qui, après la découverte du corps d’une femme transpercé d’épées dans une boîte semblable à celles qu’utilisent les illusionnistes, fait appel à , célèbre mentaliste, pour l’aider à mieux cerner l’auteur du meurtre. Des meurtres…

« L’affiche dans le hall le vantait comme le “maître mentaliste”, mais il regrettait d’avoir accepté cette appellation. C’était trop… simpliste. Vulgaire. Mais d’un autre côté, ce n’était pas plus mal de se cacher derrière un tel titre. pouvait donner l’impression qu’il était un personnage de fiction. » On ne saurait mieux dire !

Outre l’inévitable attirance entre les deux partenaires, Läckberg et Fexeus n’ont pas lésiné pour pimenter leur relation. Lui est TSA (trouble du spectre de l’autisme), elle est germaphobe : « Elle ouvrit un tiroir de cuisine et contempla la boîte de gants jetables extrafins. Elle savait qu’elle n’en avait pas besoin. Personne ne risquait sa vie

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