C’est d’un souvenir d’adolescence qu’est né Proies. Une vieille histoire que Marie-Josée, la « grande amie » à qui Andrée A. Michaud dédie le roman, lui a rappelée, alors qu’elle planchait depuis un moment sur des essais « qui n’aboutissaient nulle part ».
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Proies | Un séjour en forêt qui vire au cauchemar
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