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Tolkien en un morceau

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L’auteur du Seigneur des anneaux, l’écrivain, poète et philologue britannique J.R.R. Tolkien (1892-1973), en plus d’être le romancier prolifique que l’on connaît, était aussi un artiste visuel talentueux — même s’il était parfois le premier à en douter. 

Ses dessins, souvent réalisés pour accompagner ses propres oeuvres littéraires, nous offrent un aperçu visuel plutôt unique de la Terre du Milieu, fruit de son imagination. Ils représentent des paysages, des cartes, des créatures et certains personnages emblématiques, tels que Sauron et les hobbits.

 

Après le succès du Hobbit en 1937, il a fallu douze ans à Tolkien pour en donner la suite, « une histoire vraiment très longue qui captiverait ses lecteurs », expliquait-il dans l’avant-propos à la deuxième édition, réfutant aussi toute intention de « message » ou d’allégorie qui pourrait se cacher dans le roman. À l’origine, Tolkien souhaitait publier Le Seigneur des anneaux en un seul volume, mais le du papier étant trop élevé pendant l’après-guerre, l’oeuvre a été divisée en trois volumes qui ont paru successivement.

Cette traduction, réalisée par le Québécois Daniel Lauzon — qui a notamment aussi traduit Le hobbit et Le Silmarillion —, prend en compte la dernière version du texte anglais de même que les indications laissées par Tolkien à l’intention des traducteurs. À noter que, sous la plume du traducteur, Bilbon Sacquet devient Bilbo Bessac. 

De plus, pour la première fois en français, une édition propose les dessins et les illustrations (une trentaine) créés par Tolkien, ce qui en fait la version qui serait la plus proche de celle imaginée par

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