Ce n’est pas exactement un deuil. Ni seulement une perte. Il n’y a pas de mot, en fait. N’empêche que la peine, elle, est bien réelle : celle du deuil d’un enfant qui n’est pas à soi (et qui n’est pas mort non plus !). Compliqué ? Ça l’est.
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Marie-Chantal Perron | Le deuil de la belle-mère
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