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« C’est très inspirant de voir Alex aller. Je l’ai vu avant qu’elle ne devienne la Céline Dion du piano. » L’autrice et humoriste Léa Stréliski trouve en sa sœur, la pianiste Alexandra Stréliski, une complice idéale pour faire les 400 coups. Au micro d’Émilie Perreault, le duo revient sur ce qui construit leur univers culturel familial.
« Voir l’autre faire face à ses démons et ses peurs, aller au-delà de ce qui fait mal, même en ne se disant rien, [on se comprend]. C’est inspirant de se voir aller. »
Léa et Alexandra Stréliski épluchent leur mémoire à la recherche de souvenirs marquants de leur enfance. Les deux racontent une anecdote concernant leur père qui tente de faire une sieste en écoutant Chopin, une activité aussitôt perturbée par les sœurs qui s’amusent à monter le volume de la stéréo.
En plus de Chopin, il y a Paolo Conte, Nirvana, Chuck Berry, Claude François et bien d’autres qui comptent parmi les artistes chouchous de la famille.
